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Par Bernard Atlan le 23 Juin 2015 à 16:04
Oh ma douce France
C’est fou combien tu changes
Dans les années cinquante, soixante
Les juifs avaient la voix tonitruante
Pour soutenir Israël
Ils l’avaient vraiment belle
De nos jours c’est fini
Ce sont nos ennemis
Qui sont aussi les tiens
Mais ça tu n’y est pour rien
Ce sont eux qui maintenant
Se mettent bien en avant
Pour crier, Israël et les Juifs, à mort
Oui c’est encore nous qui avons tort
Nous sommes redevenu la cible
Oui ça c’est très pénible
D’être encore et de nouveau
Traînés dans le caniveau
Mais que peut on y faire
Pour enfin les faire taire
Je crains qu’il ne soit trop tard
Qu’il faille penser au départ
Mais cette fois nous l’avons
Ce pays que nous aimons
Ce pays que nous défendrons
Ce pays si près du ciel
Et qui se nomme ISRAEL
Mais si nos concitoyens
Ceux épris de biens
Enfin se levaient
Pour crier c’est assez
Israël n’a pas tort
Qu’ils le crient bien fort
Alors la quelle joie
Nous retrouverions la foi
Dans ce pays de Liberté, Égalité, Fraternité
Qui le sera, je l’espère, pour l’éternité
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Par Bernard Atlan le 23 Juin 2015 à 15:59
Telles de sinistres et laids corbeaux
De noir vêtues de bas en haut
Dans nos villes, dans nos rues
Elles se mettent bien en vue
Pour nous déclarer sans remord
Que c’est nous qui avons tort
D’aimer la vie, la liberté
Tout ce qui rime avec vérité
Mais elles viennent nous prévenir
De ce que nous allons devenir
Des étrangers en nos pays
Car ils nous ont envahi
Oui notre espace se rétrécit
C’est maintenant chez eux, ici.
Pour nos enfants c’est vraiment grave
De leur laisser de telles entraves
Il nous faudra vite réagir
Sinon, très vite, très loin partir
http://www.facebook.com/video/video.php?v=2063429782449&oid=132033426839712&comments¬if_t=video_comment_tagged<http://www.facebook.com/video/video.php?v=2063429782449&oid=132033426839712&comments&notif_t=video_comment_tagged>
En cliquant sur le lien ci-dessus, vous verrez avec quel amour sont traités les enfants dans ces pays. Et surtout, écoutez les adultes que cela amuse et qui rient derrière.
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Par Bernard Atlan le 13 Juin 2015 à 13:10
Dans ces citées sans âme.
De pauvres gens versent des larmes.
Ils sont jeunes ou vieux.
Et n’ont bien sur rien d’mieux.
Que cet espace sans joie
Ou ne règne qu’une loi
Celle des bandes de voyous
Qui balancent des cailloux
Sur ces médecins, pompiers, policiers.
Venus aider ces suppliciés.
Ces pauvres gens otages.
De ces bandes de sauvages.
Qui veulent garder dans l’ombre.
Tous ces trafics bien sombres.
C’est dans notre belle France
Celle de notre enfance
Que ces choses très graves
De braves gens entravent.
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Par Bernard Atlan le 25 Juillet 2014 à 16:26
Un tout petit pays
Entouré d’ennemis
Petit par la surface
Il prend très peu de place
Par sa population
C’est aussi la question
Mais le monde ne voit qu’lui
Ça c’est vraiment l’ennui
Beaucoup sont contre lui
Parce qu’il est tout petit
En ce domaine être grand
C’est vraiment plus marrant
Car même les suédois
Dis-moi ce qu’il leur doit
A ces gens du grand nord
Il n’a fait aucun tort
Ils veulent eux aussi régler
Ce qui est compliqué
Couper Jérusalem
Vieille comme Mathusalem
Mais nos prières au ciel
Sauverons ISRAEL
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Par Bernard Atlan le 25 Juillet 2014 à 16:23
Depuis très longtemps, la haine ils subissaient.
Souvent minoritaires, la tête ils baissaient.
Mais cette haine longtemps enseignée.
Résonnait souvent comme vérité.
Menteurs, voleurs, accusés de mille défauts.
Cela finit bien sur par être trop.
Un monstre abject, de l’Allemagne, prit la tête.
Ils furent pourchassés comme de vraies bêtes.
Les hommes, les femmes et les enfants.
Tous furent enfermés dans des camps.
De la surface de la terre ils voulaient les effacer.
Très peu en Europe eurent la force de crier c’est assez.
Alors l’horreur fut consommée.
Dans des fours ils les ont brulé.
Depuis sur la terre et dans les cieux.
Pleurent les âmes, de six millions d’entre eux.
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